Ce cahier publié en 2021 propose deux textes inédits en français de Jean Malaquais, Le permis de conduire et L’auto-stoppeur.

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Sommaire

• Préambule par Geneviève Nakach
• Le permis de conduire ** Texte de Malaquais publié pour la 1ère fois en français **
• Mexique, terre de contraste par Geneviève Nakach et Georges Millot
• L’auto-stoppeur ** Texte de Malaquais publié pour la 1ère fois en français **
• Le Gaffeur fait du stop par Geneviève Nakach et Georges Millot
• Correspondance Malaquais – Paulhanspan>

Avant-propos

Cette année 2021 a été marquée pour nous de deux manières importantes.

Vous connaissez notre site internet, que nous devons à notre secrétaire Franck Laurès. Depuis des années, il rassemble des informations sur notre auteur et reflète l’activité de notre association. Un autre adhérent, Abel Dubus, a mis sa compétence au service du rajeunissement de cette vitrine de la SJM.

Le deuxième événement a été notre participation au Salon du livre de La Londe les Maures. Comme tous les deux ans, il nous a permis de retrouver nos amis de là-bas, notamment les membres de l’association Lou Suve. Mais, de surcroît, M. François de Canson, maire de la commune, a rappelé publiquement sa promesse de baptiser une voie ou une place de La Londe du nom de Jean Malaquais. Cela devrait se faire dans les deux années à venir. Le jour où cet événement, marquant la reconnaissance de la cité londaise à celui qui y a travaillé comme mineur, puis l’a immortalisée sous le nom de Vaugelas, ce jour-là, notre société devra être présente sur la côte varoise. Nous nous associerons à nos amis de Lou Suve, dont nos fidèles adhérents Michèle et Gérard Aubert, pour donner à ce jour un bel éclat.

En attendant, régalez-vous du beau sommaire du présent Cahier. Deux nouvelles de Malaquais, pour ainsi dire inédites. Publiées en anglais dans deux revues américaines, elles n’ont été données en français que dans une seule publication, Nota bene. Deux facettes très diverses du talent de notre auteur s’y manifestent, de la fantaisie à la philosophie.

Puis, grâce en particulier à Pierre Masson, vous découvrirez la correspondance entre Malaquais et Jean Paulhan, assez froide au début, plus chaleureuse au fil du temps, sans devenir jamais amicale comme avec Gide. Profitons-en d’ailleurs pour espérer voir aboutir prochainement le projet de réédition de cette correspondance Gide-Malaquais aux éditions Libertalia.

Je vous invite enfin à noter deux événements sur vos agendas :
Le 31e Salon de la Revue, à la Halle des Blancs Manteaux, 75004 Paris, les 16 et 17 octobre.
Notre assemblée générale annuelle, le samedi 18 décembre, de 10H à 13h30 (jauge maximale à ce jour 35 personnes), 181 avenue Daumesnil, 75012 Paris.

Je vous adresse mes meilleurs sentiments malaquaisiens.

Geneviève Nakach